Pour le dernier épisode de cette série de témoignages, Rhizome vous propose de dépasser les chemins de Saint-Jacques ! Comprendre le sens des engagements religieux et individuels est l’un des piliers de notre travail : à travers les témoignages de pèlerins que nous avons recueillis, Rhizome vous invite à découvrir comment « Ultreïa » se traduit dans les expériences de chacun, qu’elles soient religieuses, spirituelles et surtout humaines.
Aujourd’hui, Rhizome reçoit Alain Simonin qui n’a pas accompli le pèlerinage de Compostelle mais qui nous raconte ceux de l’association Compostelle-Cordoue. A travers son récit, nous découvrons comment l’expérience pèlerine, ou spirituelle en générale, joue un rôle dans la construction d’une identité.
Revoyez également le précédent portrait ici!
Saint-Jacques de Compostelle
Le pèlerinage jusqu’à Saint-Jacques de Compostelle est une pratique qui remonte au XIe siècle et atteindra son âge d’or au XIIIe siècle avant que les chemins ne soient peu à peu désertés à la suite de divers évènements européens (épidémies, guerres, réforme).
L’intérêt que porta le pape Jean-Paul II au pèlerinage de Saint-Jacques dans les années 1980 renouvela la fréquentation des pèlerins qui passèrent de 620 en 1985 à 350’000 en 2019. Aujourd’hui, on y recense des pèlerins venant de nombreux pays du monde, pour des motifs aussi bien religieux ou spirituel que culturel, sportif, touristique.
Cette série est encore marquée par les restrictions sanitaires et les interviews se sont faites en partie par écran interposé. Nous vous reviendrons à la rentrée avec d’autres projets et d’autres formats vidéo !
Crédit photo: Alain Simonin
